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Derrière la trame policière de La débauche, le titre s'entend comme synonyme de licenciement. Un SDF mutique vit dans une cage du zoo du Jardin des Plantes, avec pour seule compagnie un poste de télé. Par la magie des images, le mystérieux chôme[...]texte imprimé
Le lecteur l'a connu petit garçon, lycéen, étudiant étranger, et bûcheron, l'espace d'un été, dans le rude Colorado. Le cycle s'achève avec ce roman où le héros découvre à Paris un univers encore plus difficile d'accès : celui de la presse. C'es[...]texte imprimé
Tout commence au lycée de Nancy où ils suivent les cours du professeur de philosophie, Bouteiller, représentation du kantien républicain. Ce dernier, appelé à Paris par Gambetta, entraîne à sa suite les garçons qui découvrent, à la manière d'un [...]texte imprimé
"De Champollion, j'ai d'abord su qu'il n'était pas en Égypte avec Bonaparte ; que de la pierre de Rosette il n'a jamais vu que des copies plus ou moins fautives ; qu'il souffrait de la goutte et de ses pieds enflés comme ceux d'Œdipe ; qu'il ent[...]texte imprimé
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Tout à coup, l'un des valets m'a enlevé ma veste, et l'autre a pris mes deux mains qui pendaient, les a ramenées derrière mon dos, et j'ai senti les nœuds d'une corde se rouler lentement autour de mes poignets rapprochés. En même temps, l'autre [...]texte imprimé
Les derniers jours, dont la mort constitue le thème dominant, peut se lire comme le roman de la désillusion : les étudiants y vivent presque inconsciemment les derniers jours de leur jeunesse, les vieillards les derniers jours d'une existence ma[...]texte imprimé
Goetz : Je prendrai la ville Catherine : Mais pourquoi ? Goetz : Parce que c'est mal. Catherine : Et pourquoi faire le mal ? Goetz : Parce que le bien est déjà fait. Catherine : Qui l'a fait ? Goetz : Dieu le Père. Moi, j'invente. [...]texte imprimé
Jules Barbey d'Aurevilly, Auteur ; Jacques Petit, Éditeur scientifique | Paris : Gallimard | Folio | 1973Quant aux femmes de ces histoires, pourquoi ne seraient-elles pas les diaboliques ? N'ont-elles pas assez de diabolisme en leur personne pour mériter ce doux nom-là ? ... Diabolique, il n'y en a pas une seule ici qui ne le soit à quelque degré. [...]texte imprimé
Est-ce l'histoire d'un didacteur agoraphobe qui se ferait remplacer par un sosie ou bien celle de ce sosie qui, à son tour, se ferait remplacer par un sosie ? A moins que ce ne soit l'histoire de l'auteur rêvant à cela dans son hamac...texte imprimé
Les dieux ont soif, roman de la Terreur, depuis sa naissance jusqu'à son effacement par la réaction thermidorienne, est peut-être le plus beau roman sur la Révolution française. Evariste Gamelin, jeune peintre membre du Tribunal révolutionnaire,[...]texte imprimé
L'oeil inconsciemment gris-bleu, la molletière galamment embobinée avec inconscience, le soldat Brû promenait naïvement avec lui tout ce qu'il fallait pour plaire à une demoiselle ni tout à fait jeune ni tout à fait demoiselle. Il ne savait pas.[...]texte imprimé
Pourquoi le narrateur a-t-il fui les bords de la Marne avec Sylvia pour se cacher à Nice ? D'où vient le diamant la Croix du Sud, la seule chose dure et consistante de leur vie et qui, peut-être leur porte malheur ? De quoi est mort l'acteur pop[...]texte imprimé
"Des imbéciles. Imbéciles. Les imbéciles. C'est à ne pas croire. C'est lui qui vient de dire ça. Lui-même. C'est de sa propre bouche que sont sortis ces mots étonnants : des imbéciles. Ces gens-là, regardez, je vous les désigne, regardez-les bie[...]texte imprimé
«C'est encore une fois les vacances. Encore une fois les routes d'été. Encore une fois des églises à visiter. Encore une fois dix heures et demie du soir en été. Des Goya à voir. Des orages. Des nuits sans sommeil. Et la chaleur.Un crime a lieu [...]