Détail de l'auteur
Auteur André Gide (1869-1951) |
Documents disponibles écrits par cet auteur (17)
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Eh bien ! voilà, commença Valentine après qu'Arnica se fut assise : Le pape... Non ! Ne me dites pas ! Ne me dites pas ! fit aussitôt Mme Fleurissoire, étendant la main devant elle ; puis, poussant un faible cri, elle retomba en arrière, les yeu[...]texte imprimé
André Gide, Auteur ; Jacques Schiffrin, Auteur ; Alban Cerisier, Éditeur scientifique | Paris : Gallimard | Les cahiers de la NRF, ISSN 1159-8980 | 2005André Gide, lui-même créateur de la NRF, fut associé par Jacques Schiffrin à la création des Editions de la Pléiade. Il persuada également Gaston Gallimard de reprendre la maison d'édition et d'accueillir l'éditeur comme directeur de la collecti[...]texte imprimé
Alors il se passa quelque chose d'extraordinaire : je le vis brusquement prendre sa tête dans ses mains et éclater en sanglots. Il ne pouvait plus être question de feinte ; c'étaient de vrais sanglots qui lui secouaient tout le corps, de vraies [...]texte imprimé
André Gide ; Pierre Masson, Éditeur scientifique | Paris : Gallimard | Bibliothèque de la Pléiade, ISSN 0768-0562 | 1999« Le bon critique est celui qui raconte les aventures de son âme au milieu des chefs-d'ouvre. » Gide, en qui le critique est indissociable de l'écrivain, fait sienne cette formule d'Anatole France.Les Essais critiques réunis dans ce volume nous [...]texte imprimé
- Depuis quelque temps, des pièces de fausse monnaie circulent. J'en suis averti. Je n'ai pas encore réussi à découvrir leur provenance. Mais je sais que le jeune Georges - tout naïvement je veux le croire - est un de ceux qui s'en servent et le[...]texte imprimé
Un matin, j'eus une curieuse révélation sur moi-même : Moktir, le seul des protégés de ma femme qui ne m'irritât point, était seul avec moi dans ma chambre. Je me tenais debout auprès du feu, les deux coudes sur la cheminée, devant un livre, et[...]texte imprimé
"Mon amour, voici ma dernière lettre... Vite ces quelques mots encore, car je sais que ce soir je ne pourrai plus rien te dire ; mes lèvres, près de toi, ne sauront plus trouver que des baisers. Vite, pendant que je puis parler encore, écoute : [...]texte imprimé
“Khung cửa hẹp” được viết nên bằng dòng hồi tưởng của nhân vật xưng “tôi” (Jérôme). Câu chuyện đơn sơ, giản dị và lỡ chẳng may “có rách nát đôi lần cũng là điều ngoài ý”. Đối với André Gide ,“bịa đặt, thêm thắt để vá víu những kỷ niệm, để nối ti[...]texte imprimé
Nathanaël, je t'enseignerai la ferveur. Une existence pathétique, Nathanaël, plutôt que la tranquillité. Je ne souhaite pas d'autre repos que celui du sommeil de la mort. J'ai peur que tout désir, toute énergie que je n'aurais pas satisfaits dur[...]texte imprimé
" Moi ! répondis-je un peu gêné, j'écris Paludes. - Paludes ? qu'est-ce que c'est ? " dit-elle. Nous avions fini de manger ; j'attendis d'être dans le salon pour reprendre. Quand nous fûmes tous deux assis au coin du feu : " Paludes, commenç[...]texte imprimé
La porte était close. Le verrou n'opposait toutefois qu'une résistance assez faible et que d'un coup d'épaule j'allais briser... A cet instant j'entendis un bruit de pas ; je me dissimulai dans le retrait du mur. Je ne pus voir qui sortait du ja[...]texte imprimé
A. Gide raconte son aventure avec Ferdinand, fils d'un valet de ferme alors qu'il séjournait chez son ami Eugène Rouart en 1907. Il surnomma le garçon le Ramier à cause du roucoulement de colombe qu'il produisait en faisant l'amour. Ferdinand mo[...]texte imprimé
Le motif secret de nos actes, et j'entends : des plus décisifs, nous échappe ; et non seulement dans le souvenir que nous en gardons, mais bien au moment même. Sur le seuil de ce que l'on appelle : péché, hésitais-je encore ? Non ; j'eusse été t[...]texte imprimé
- Il ne faut pas chercher à m'en faire accroire, voyez-vous. D'abord parce que ça serait très lâche de chercher à tromper une aveugle... Et puis parce que ça ne prendrait pas, ajouta-t-elle en riant. Dites-moi, pasteur, vous n'êtes pas malheureu[...]texte imprimé
«[...] je n'ai point encore dit l'immense plaisir que Gertrude avait pris à ce concert de Neuchâtel. On y jouait précisément La symphonie pastorale. Je dis "précisément" car il n'est, on le comprend aisément, pas une œuvre que j'eusse pu davanta[...]